Traitres à la France, ces costauds

Pauvre France,
ce cher pays qui s’enfonce,
tes enfants me donnent le haut de cœur
ton village foot, soumis à des cloches plein de rage
veulent séparer tes enfants de tout âge
ceux qui demain feront ton honneur
Oui, je saigne
Et je suis dans ce dilemme
Tous ces gens peu amène
Amateurs de quotas, ils s’amènent
au ballon rond ils préfèrent la douleur
traitres à la France
ils désignent les basanés dans l’enfance
qui savent à peine ce que sera leur adolescence
et paient le crime "Origine" de l’ascendance

Équipe de France,
expulse toute cette engeance
qui renie tes victoires, quel déshonneur
s’extasiant sur l’exception espagnole, ce n’est pas sage
oublieux des conquêtes teutonnes et c’est dommage
car des grands costauds, 3 fois, ils ont reçu le bonheur
Oui, je les aime
ces footeux, grands emblèmes
Rummenigge, Beckenbauer, Hrubesch, ces Brehme
Coulés dans le bronze des Dessailly, oui le même
Ces musclés intelligents, sans couleur
Oui, ingérence
dans les magouilles de la FFF, avec assurance
sortons de ces réunions cette odeur rance
dans les orties jetons les, tous dans les ronces

Merci au grand Charles pour cette ballade